Parcours de MIOB : rencontre avec l’agence Akor2prêt d’Arras

BROOKÉO est composé d’une équipe d’experts en regroupement de crédits : analystes, superviseurs back-office, responsables partenariats, service juridique et communication… Mais ce qui compose BROOKÉO, c’est aussi, et surtout, un réseau de mandataires (MIOB) qui œuvrent sur le terrain auprès des clients. Dans cette rubrique Parcours de MIOB, nous vous proposons de partir à leur rencontre !

Aujourd’hui, découvrez Justin Dupuis, Jean-Baptiste Carpentier et Christine Seillier. MIOB chez BROOKÉO depuis deux ans, ils travaillent main dans la main au sein de l’agence Akor2pret d’Arras (62). Grâce à leur complémentarité, ils ont su tirer leur épingle du jeu et se placer en tête des MIOB BROOKÉO les plus producteurs. Découvrez leur parcours !

Une formation bancaire

Justin, Jean-Baptiste et Christine ont un dénominateur commun : ils viennent tous les trois du milieu bancaire. Jean-Baptiste a passé 10 ans à la Société Générale, Justin 4 ans au Crédit du Nord et Christine 2 ans à la Banque Populaire. Tous les trois lassés par la lourdeur du système bancaire, ils ont voulu profiter de la liberté et des avantages du courtage.

Fin 2016, Justin se lance en tant qu’indépendant et ouvre l’agence Akor2pret d’Arras, à cette époque, spécialisée en courtage immobilier. Sa rencontre avec Jean-Baptiste et Christine, il y a 2 ans, vient ajouter le regroupement de crédits (RAC) à l’activité de l’agence. Aujourd’hui, leur activité se répartit presque à part égale entre ces deux domaines (55 % immo, 45 % RAC).

Leur très bonne connaissance du milieu bancaire leur permet d’en comprendre les rouages. Rapidement, ils obtiennent des clients en démarchant les réseaux bancaires. Leur travail et leurs très bons résultats payent. Aujourd’hui, les nouveaux dossiers affluent grâce aux recommandations de leurs clients financés.  

L’attrait pour le RAC

Justin l’avoue lui-même, quand il travaillait en banque, il avait une vision assez réduite du RAC. « Pour moi, le regroupement de crédits c’était une clientèle compliquée : des profils débiteurs, des petits dossiers… », explique-t-il. Sa rencontre avec Jean-Baptiste va changer sa vision du métier. « J’ai découvert qu’il existait une multitude de profils et de projets. Le RAC ne concerne pas que les clients mal endettés, bien au contraire. Aujourd’hui, nous avons une large typologie de clients : du jeune retraité au profil patrimonial. »

Pour Christine, ce qu’elle aime dans le RAC ce sont les diverses possibilités de montage.

« Contrairement à l’immobilier, un dossier en regroupement de crédits peut être monté de nombreuses façons. C’est plus technique, mais, du coup, plus intéressant ».  

« Le RAC c’est passionnant car les clients sont toujours différents. Nous avons de multiples solutions à notre disposition », ajoute Jean-Baptiste. Il explique aussi que le regroupement de crédits permet de proposer un véritable accompagnement. « On peut vraiment accompagner le client avec honnêteté, en toute transparence. Ce qui est appréciable pour lui, mais aussi pour nous ».

L’importance de la diversification

L’intérêt du regroupement de crédits réside aussi dans sa complémentarité avec le courtage immobilier. Le contexte actuel, marqué par les fortes restrictions d’accès au crédit, montre qu’il est important de se diversifier.

Pour Justin, une activité de crédit (immobilier ou RAC) ne peut se suffire à elle seule. « Les temps ont changé. Les banques ont fermé les robinets d’accès au crédit et nous sommes en train, difficilement, de sortir la tête dans une période très compliquée, jamais connue historiquement. Cela nous montre que de conserver une seule activité est un pari très - voire trop - risqué aujourd’hui. »

C’est grâce à la complémentarité entre le courtage immobilier et le regroupement de crédits que l’équipe de Justin a pu maintenir son activité. « Quand l’accès au crédit immobilier a commencé à se réduire, nous avons mis l’accent sur les dossiers de regroupement de crédits. Puis, quand l’activité RAC a été plus compliquée et que l’activité immobilière a repris, nous avons augmenté la part des dossiers immobiliers », explique-t-il.

Le partenariat avec BROOKÉO

L’agence de Justin travaille avec BROOKÉO depuis deux ans. Avant de démarrer le partenariat, ils avaient comparé plusieurs packageurs en regroupement de crédits.

Ce qui a fait la différence c’est la rémunération et l’accompagnement. « On ne va pas se mentir, au départ, c’est la rémunération qui a fait la différence. Comme pour toute activité, nous avons besoin de gagner de l’argent et BROOKÉO proposait l’offre la plus attractive », explique Jean-Baptiste.

« Ce qui nous a fait rester, c’est le côté humain qui est primordial pour nous. Chez BROOKÉO, il y a une vraie proximité. L’équipe est accessible. Nous pouvons, à tout moment, échanger avec Jérôme Peru, notre responsable partenariat dédié, avec les analystes, et même avec Alexandre Debaere, le directeur opérationnel de BROOKÉO ».

Ce que Jean-Baptiste et Christine apprécient aussi, c’est l’outil de simulation proposé par BROOKÉO. « Une fois le dossier saisi dans l’outil, on obtient immédiatement une simulation de faisabilité », explique Christine. Une fois le dossier envoyé, les échanges avec les analystes sont fluides : « Même si, parfois, c’est compliqué de comprendre et d’accepter un refus, on sait qu’on a la même vision du montage des dossiers », complète-t-elle.

L’avantage du MIOB sur l’indicateur d’affaires

Pour faire du regroupement de crédits, l’agence aurait pu choisir d’être simplement indicateur d’affaires auprès d’un d’intermédiaire en opérations de banque et services de paiement (IOSBSP) mais elle a préféré devenir elle-même mandataire (MIOB). Jean-Baptiste en explique les avantages :

« Outre la rémunération, qui est beaucoup plus importante en tant que MIOB qu’en tant qu’indicateur d’affaires, le travail n’est pas le même. Lorsqu’on est MIOB, le client reste notre client et nous gardons la main sur le dossier ».

Si, devenir MIOB, peut faire peur aux personnes novices en regroupement de crédits, Christine les rassure. « C’est enrichissant de développer son champ de compétences et, en choisissant un packageur comme BROOKÉO, les débutants bénéficient d’un véritable accompagnement ».

Leurs messages aux futurs MIOB

Pour les futurs MIOB qui voudraient se lancer, Christine, Jean-Baptiste et Justin ont plusieurs conseils, qui s’appuient sur leurs années d’expérience :  

• Premièrement : se diversifier. Le contexte financier actuel a prouvé qu’il était risqué de s’appuyer sur une seule activité. Christine, Jean-Baptiste et Justin encouragent les courtiers en prêts immobiliers à se tourner vers le regroupement de crédits pour bénéficier d’une activité – et donc de revenus – complémentaires ;

• Deuxièmement : s’adapter. Pour Justin, l’adaptation est la base du métier. « Aujourd’hui, les règles du jeu ont changé. Pour obtenir la même rémunération qu’on obtenait sur un dossier il y a 10 ans, il faut presque faire 10 dossiers », explique-t-il. Cela implique de trouver de nouvelles manières de travailler et d’être moins dépendant des apporteurs d’affaires. « Plus on est « bons », plus les dossiers arrivent tous seuls grâce à la recommandation. Ce sont des dossiers pour lesquels on a rien payé et qui, du coup, nous rapportent plus », complète-t-il.

• Troisièmement : être bien accompagné. Bénéficier de l’accompagnement d’un packageur est essentiel pour développer son business. En plus de donner accès à tous les établissements bancaires spécialisés en regroupement de crédits, le packageur permet de faire bénéficier le MIOB de son expertise pour gagner en temps et en efficacité et maximiser sa rentabilité !

Comme Justin, Jean-Baptiste et Christine, bénéficiez d’un accompagnement sur mesure et boostez votre chiffre d’affaires en rejoignant le réseau BROOKÉO ! Déposez votre demande de renseignements, nous serons ravis d’échanger avec vous.

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